poesie amateur

Oh toi le fantôme qui vogue 

vers la brume 

La mort se reflète sur la Lune. 

Les chants de la morgue accompagnent tes pas verss ton existence inachevé...

La brume disparaît... voilà ton essence : un corps safrané.

Sur ses yeux se dessinait 

l'ombre de mes pensées 

L'aube lentement éclairait son oeil droit 

tandis que son oeil gauche 

sombra dans l'oubli. 

Fantômes 

ils voguent vers le passé 

Car le présent n'est plus 

l'aube recouvre sa peau nu 

Ses yeux semblables à une forteresse me fascinent , m'intriguent et me jettent 

dans les rues sombres de Paris. 

Eclairé par les yeux du sphinx ; 

Elle m'offre mon corps. 

Sur la branche je me recueille

Tout en observant les feuilles 

des poètes immortels 

se tranfomer en miel 

Sous ton voile 

J'ai vu ton amour 

Voguer vers...

L'aube lentement caressait ton coeur 

Tandis que la lune éclarait cet amours 

Lente danse , qui couvre les morts 

Entends tu le chant des montagnes 
Elles pleurent leurs enfants disparus 


Entends tu l'appel de la mer 
Elle nous invite à découvrir la vie 
Cher frère 


L'odeur des ombres 
Couvre mes pensée 
Sur le Sable 
J'ai perdu ta présence 


La lune à refermer les portes 
Je t'attend de l'autre côté...

L'alouette a disparue , depuis notre dernière rencontre


Entends tu ma voix 
Je chante tous les soirs 
Devant ton ombre 

Te rappelles tu lorsque nous étions deux?
Notre amour nous portait 


L'aube apparaît 
Et tout semble avoir disparu 
Depuis...